[Article invité] Une lente évolution des mœurs

Le blog vous propose un nouvel article sponsorisé, cette fois-ci nous évoquons le cas de l’automobile ! Vous le savez, je suis un grand fan d’automobile et cela va parfois à l’encontre de mon engagement énergéthique, même si cele-ci est parfois pointée du doigt à tord.
On l’évoque souvent, l’un des dilemmes de notre époque est d’arriver à réduire nos besoins en énergie et nos émissions de gaz à effet de serre sans pour autant sacrifier notre confort et nos passions. On pourrait croire que notre situation, dos au mur, va nous faire réagir, que la crise va influer directement sur le problème et faire baisser notre consommation d’énergie ou encore que nos experts scientifiques et techniques vont trouver des solutions miracles pour ne pas sacrifier notre niveau de vie…
Plutôt que de repousser la faute sur les autres et d’attendre que la solution nous tombe tout cuit dans le bec, pourquoi ne pas prendre les choses en main ! La crise ne fait pas baisser la pollution mais l’entretient et l’augmente.
Mais alors comment arriver à allier développement économique et bonnes pratiques écologiques ? C’est là tout le problème : si nos industries sont déficitaires, elles sont montrées du doigt et si elles fonctionnement bien, leur impact sur l’écologie est parfois désastreux. Il faut donc allier les deux. C’est plus facile à dire qu’à faire mais tout à fait possible, il en tient de l’engagement de tous. Apprendre à mieux consommer et à mieux produire peut être une des clefs de la réussite. Il faut une réelle prise en compte citoyenne mondiale du phénomène pour que des résultats tangibles soient obtenus.

La voiture, un bouc émissaire tout trouvé
Le débat tourne par exemple très souvent autour de la voiture, synonyme de modernité et de liberté dans notre civilisation. Cette dernière n’en reste pas moins l’une des principales causes de pollution dans le monde. Et on en fabrique toujours plus !

Certes, les constructeurs prennent en compte les questions écologiques, quand ils imaginent les automobiles de demain, mais peut-être pas encore suffisamment. Ainsi, on peut penser aux voitures hybrides, électrique, solaires qui sont développées par beaucoup de constructeurs tels que BMW, Mercedes, Toyota ou encore Renault. Il existe même des voitures avec propulsion à air (ou AirPod) développées par le producteur indien TATA. Mais les résultats sont, ou décevant au niveau du prix, ou décevant du point de vue de la qualité de la voiture. Dans la même approche, les grandes villes tentent de réduire le nombre de voitures et de diminuer la pollution dans leur centre-ville en proposant des alternatives telles que la location de vélos ou de voitures électriques.

Arrêtons le gaspillage
Mais quand l’on pense à tout ce qui a déjà été produit – les chiffres sont vertigineux – ne vaudrait-il mieux pas réutiliser ce qui a déjà été fait ? Retransformer pour réutiliser tout en polluant moins, ce devrait être le mot d’ordre des industries d’aujourd’hui, ou du moins accompagner son bien jusqu’à son dernier souffle. Les voitures d’occasion peuvent être une alternative, elles sont tout d’abord moins chères et de nombreux modèles sont abandonnés sans avoir vécu un tiers de leurs existence… Une voiture d’occasion peut, par exemple, être recyclée et réutilisée pendant plusieurs générations. Une fois son cycle de vie terminé il est possible de réutiliser ses pièces…

Réduire le gaspillage énergétique commence donc peut être par recycler sa propre voiture.

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