Et oui, la rhubarbe pourrait bientôt servir à produire des batteries et c’est JD qui nous a transmis cette info intéressante.
Une équipe de chercheur a publié un article dans le sacro saint « Nature » qu’on ne présente pas/plus dans le monde scientifique. En fait, la batterie utilise de petites molécules organiques carbonées appelées quinones. Le principe de ces batteries s’apparente à celui utilisé dans les piles à combustibles avec un réservoir externe à la zone réactionnelle. Cela permet donc de choisir la taille du réservoir (énergie stockée) sans se soucier de la puissance disponible et ça, c’est un bel avantage ;-).
Autres avantages : les quinones couteraient moins cher à synthétiser que l’achat des métaux des batteries classiques, seraient bien plus faciles à recycler et surtout commercialisables assez rapidement !
Bref, que demande le peuple ?
Merci JD !