Selon Edward Glaeser, économiste à Harvard, vivre loin de la nature serait bénéfique pour celle-ci.
En effet d’après ses calculs un ménage citadin émettrait six tonnes de CO2 en moins par an qu’un ménage campagnard.
En y réfléchissant il est vrai que vivre en ville permet de se passer plus souvent de sa voiture, vivre dans un appartement nécessite moins d’apport calorifique qu’une villa 4 façades et ce même à superficie équivalente, …
Bref pour sauvegarder la nature il vaut mieux être un indécrottable citadin qu’un banlieusard aux doigts verts !
Son conseil : « Si vous aimez la nature, restez loin d’elle pour son propre bien »
Paradoxal, non?